Catégorie : Livres

  • Le Blanc des cartes, analyse du silence cartographique

    Dans leur ouvrage Le Blanc des cartes, Sylvain Genevois, Matthieu Noucher et Xemartin Laborde analysent le caractère polysémique des silences cartographiques. Ils démontrent comment ces espaces apparemment vides, loin d’être anodins, révèlent en fait des réalités politiques, culturelles et sociales bien cachées.

  • V pour Vendetta, anamnèse de l’oppression

    Chef-d’œuvre d’Alan Moore et David Lloyd, la série réalisée entre 1982 et 1990 V pour Vendetta a donné corps à une dystopie qui a laissé une empreinte significative sur le neuvième art.

  • La Troisième personne : identité et pluralité

    Publiée aux éditions Delcourt, La Troisième personne est une somme vertigineuse totalisant pas moins de 920 pages, au cours desquelles Emma Grove livre un témoignage bouleversant, introspectif et sans ambages, sur sa transition de genre et les difficultés posées par ses troubles dissociatifs de l’identité. 

  • Deep me : une exploration

    Cet album signé Marc-Antoine Mathieu a de quoi surprendre. En effet, à première vue, il offre surtout une multitude de pages noires. Mais se fixer sur ce point serait mal connaître l’auteur d’un nombre impressionnant d’albums mémorables.

  • La Montgolfière de Berlin : fuir pour vivre 

    Roberta Balestrucci Fancellu et Luogo Comune publient La Montgolfière de Berlin aux éditions Motus. Ils y narrent l’histoire de deux familles prêtes à tout pour quitter la RDA et rejoindre l’Allemagne de l’Ouest, deux territoires séparés par un mur hautement sécurisé.

  • Petit pays : innocence brisée 

    La collection « Aire Libre » des éditions Dupuis accueille Petit pays, de Gaël Faye, Marzena Sowa et Sylvain Savoia. Adaptation graphique du roman éponyme de Gaël Faye, l’album adopte le regard d’un enfant du Burundi tandis qu’est initié, dans le pays voisin, le génocide rwandais…

  • Plop! : mauvais genre

    Sébastien Fleuret et Simon Vergnol publient Plop! aux éditions Steinkis.On y suit le quotidien d’Alex, un habitant de Montréal bouleversé par une transformation physique inattendue lors d’une soirée hockey. Le roman graphique explore avec humour (et parfois gravité) les dynamiques de genre et les questions d’identité.

  • Chez Adolf : plongée dans le tumulte de la fin du Reich

    Dans le quatrième et dernier tome de la série Chez Adolf, intitulé « 1945 », Rodolphe et Ramon Marcos nous dévoilent les derniers jours du Troisième Reich, à travers les yeux du professeur Karl Stieg. Cette saga publiée aux éditions Delcourt, initiée en 2019, se clôture sans rien perdre de son intérêt.

  • Tout est sous contrôle, ou presque

    Christopher Bouix publie Tout est sous contrôle aux éditions Au Diable Vauvert. Dans ce roman contre-utopique, la société tout entière s’indexe à un bonheur frelaté, qui enserre et contrarie bien plus qu’il ne libère et épanouit. 

  • Colt & Coal : l’Amérique charbon

    Colt & Coal, de Vincent Brugeas et Mr Fab, paraît aux éditions Glénat. Son récit entremêle suspense, enjeux sociaux et dynamiques de pouvoir, dans une sorte de thriller social dont le cadre n’est autre que les mines de charbon américaines…

  • Lost in Translation : radiographie cinématographique de Sofia Coppola

    Antoine Oury publie aux éditions LettMotif un essai d’analyse filmique intitulé Lost in Translation : étrangers familiers. Il y revient notamment sur la solitude et la quête de sens qui se conjuguent, chez Sofia Coppola, au cœur d’un Tokyo à la fois fascinant et insaisissable…

  • Ce que Robert Badinter nous enseigne sur la peine de mort

    Relire Contre la peine de mort ne saurait être qu’entreprise salutaire. D’abord parce que ce recueil d’articles et de discours reprécise les grandes questions liées à la peine capitale. Ensuite parce qu’il nous renvoie au coeur de deux affaires significatives, abominables et retentissantes, celles impliquant Roger Bontems (1972) et Patrick Henry (1977). Robert Badinter, ancien garde des sceaux de François…

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